Communard
Grenoblois ; victime de 1851, « connu pour ses opinions violentes ».
En mars 1871, il était à Paris et arriva, le 10 ou le 11 avril, à Grenoble, où il était déjà venu en septembre 1870. Le préfet de l’Isère, dans une lettre « au Ministre » datée Grenoble, 22 avril 1871, l’accusa d’être venu avec des instructions de la Commune et d’avoir organisé la manifestation du 16 avril 1871.
Pirodon quitta Grenoble « dès que la répression put lui faire craindre d’être arrêté » ; il aurait gagné la Suisse.
Voir Frappat.
SOURCE : Enquête parlementaire sur l’insurrection du 18 mars 1871.