PISSARD Claude, François

Garde, en 1871, au 125e bataillon fédéré, il fut condamné, le 6 mars 1872, à dix ans de bannissement et gagna Londres, puis le Japon ; en 1880, il était depuis quatre ans à Yedo et travaillait comme contremaître sculpteur à la direction des constructions, au ministère des Travaux publics.