Entrepreneur en bâtiment de Saint-Jean-des-Vignes, commune suburbaine de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) ; adhérent de l’AIT ? ; sympathisant de la Commune de Paris.
« Énergumène dangereux, condamné à la prison au mois d’août 1870, pour excitation à la rébellion contre des agents de la force publique dans l’exercice de leurs fonctions » ; considéré comme « agent subalterne » de l’Internationale, il organisa, avec Bertrand, des réunions de sympathie à la Commune de Paris (Enquête parlementaire sur l’insurrection du 18 mars 1871, p. 168). Voir Bellenaud.