PONS François, Émile

Il était marié, père de deux enfants. Sous la Commune de Paris, il servit comme capitaine d’état-major au 2e bataillon des Vengeurs de Paris.
Condamné par contumace, le 8 novembre 1872, par le 19e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, il purgea sa contumace et fut condamné, le 9 juin 1875, par le 3e conseil de guerre, à la déportation simple, peine commuée, le 10 novembre 1876, en huit ans de détention ; il était arrivé à Nouméa le 30 janvier 1876, il rentra par le Tage en 1877 et fut amnistié en 1879.