Né le 19 octobre 1851 à Dijon (Côte-d’Or) ; garçon de salle ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il fut condamné, le 6 janvier 1872, par le 12e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée en résidence obligatoire en 1878, puis remise en 1879 ; il rentra par le Tage.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/828. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.