Né le 26 novembre 1820 à Chaumont (Haute-Marne) ; sellier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; ancien militaire. Du 2 septembre 1853 au 30 avril 1868, il avait subi six condamnations pour vente d’effets et petit équipement, pour désertion (deux), et pour abus de confiance (trois), variant de trois mois à trois ans de prison.
Condamné, le 20 février 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels, il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Il fut amnistié en 1879 et rentra par le Tage.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/824. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.