Né à Hernonville (Calvados) — est-ce Hérouville-Saint-Clair ? — le 19 août 1826 ; tailleur de pierre ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, sans enfant. Il fut, sous la Commune de Paris, garde au 178e bataillon fédéré, et fut condamné, le 30 janvier 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée en 1878 en résidence obligatoire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.