Communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Marié, père de trois enfants. Garde au 101e bataillon fédéré, il avait été condamné à la déportation simple. En 1876, de l’île des Pins, il écrivit deux lettres à ses enfants (il ne parlait pas de sa femme ; était-elle décédée ?).
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/822. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.