ROGER Léon, Philippe

Né le 17 août 1827 à Reims (Marne) ; ébéniste ; communard.

Estampille de Léon Roger sur une console appartenant à Paul Martin. Mais s’agit-il du même ? La date de 1848 laisse un doute (mais il peut aussi s’agir d’un numéro de série).
Estampille de Léon Roger sur une console appartenant à Paul Martin. Mais s’agit-il du même ? La date de 1848 laisse un doute (mais il peut aussi s’agir d’un numéro de série).
Cliché Paul Martin

Il était marié, père d’un enfant ; il avait été condamné, le 3 août 1851, à Besançon (Doubs), à trois mois de prison et 50 f d’amende pour détournements.

Sous la Commune de Paris, il était capitaine au 180e bataillon fédéré. Condamné par contumace, le 14 septembre 1874, par le 3e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, il obtint la remise de sa peine en 1879.

Se confond-il avec Roger L. qui figure parmi les 54 signataires du manifeste de quatre pages imprimées adressé Au Citoyen Garibaldi et daté Genève, 27 janvier 1875 ? Ce manifeste se trouve à l’IFHS (fonds Claris).

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article69989, notice ROGER Léon, Philippe, version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 17 juin 2020.
Estampille de Léon Roger sur une console appartenant à Paul Martin. Mais s'agit-il du même ? La date de 1848 laisse un doute (mais il peut aussi s'agir d'un numéro de série).
Estampille de Léon Roger sur une console appartenant à Paul Martin. Mais s’agit-il du même ? La date de 1848 laisse un doute (mais il peut aussi s’agir d’un numéro de série).
Cliché Paul Martin

SOURCES : Arch. Nat., BB 24/859 B. — Arch. Min. Guerre, 3e conseil (n° 1858). — Arch. PPo., listes de contumaces.

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