Né le 8 octobre 1845 à Paris ; ouvrier en papiers peints ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. En 1871, il était garde au 191e bataillon fédéré.
Il fut condamné, le 20 mars 1872, par le 17e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine fut commuée en sept ans de prison en 1877 ; il rentra par la Loire la même année, puis obtint sa grâce en 1878.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/829 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.