Né le 25 avril 1825 à Champgenéteux (Mayenne) ; cultivateur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; ancien militaire. De 1860 à 1868, il avait subi trois condamnations pour outrages à la pudeur.
En 1871, il était garde au 165e bataillon fédéré. Il fut condamné, le 10 février 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée en résidence obligatoire en 1877, puis finalement remise en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/828 et H colonies 99. — Note de Louis Bretonnière.