Né le 4 décembre 1838 à Vrigny (Loiret) ; meunier à Ascoux (Loiret) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, père d’un enfant. Il arriva à Paris au début de mai 1871 et servit la Commune. Condamné, le 2 avril 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple, il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Il fut amnistié et rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/837. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.