Ouvrier horloger demeurant à Besançon (Doubs), 22, place Marullaz.
Désireux de fonder une société coopérative, il écrivit, le 10 mars 1870, à A. Verdure, rédacteur de la Marseillaise, pour lui demander conseil.
SOURCE : Michel Cordillot, La Naissance du mouvement ouvrier à Besançon, Paris/Besançon, 1990.