Président d’une « corporation d’ouvriers » de Louviers (Eure) en octobre 1869 ; vraisemblablement adhérent de l’Internationale.
Par suite de dissensions intestines, Sainte-Croix démissionna en février 1870 et fut remplacé par Régnier, membre de la fédération elbeuvienne. Le 24 mars — d’après une lettre d’Auzoux à Aubry, — la société ne comprenait que vingt adhérents ; elle avait recueilli dix abonnements à la Réforme sociale, organe de l’Internationale dirigé par Aubry.
SOURCE : Enquête parlementaire sur l’insurrection du 18 mars 1871, pp. 127-128.).