SANTRA

Il avait été condamné en 1858 à trois mois de prison pour vol. Il s’adonnait à l’ivrognerie.
Il fut caporal en 1871 dans une compagnie sédentaire du 176e bataillon de la Garde nationale. On l’arrêta sous l’inculpation de participation au pillage de l’archevêché de Paris, puis on l’acquitta sur ce chef à la minorité de faveur, mais des charges furent retenues. Il avait été comme Tirant préposé à la distribution des vivres à la Préfecture de police. Fut-il, lui aussi, condamné à la déportation dans une enceinte fortifiée ?
Se confondrait-il avec Sautra Jean-Baptiste ? Voir ce nom.