Né le 5 avril 1837 à Paris ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; il avait été condamné avant 1870 à quinze jours de prison pour tapage nocturne.
Il fut, sous la Commune de Paris, garde au 184e bataillon fédéré, et fut condamné le 29 décembre 1871, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.