Né le 20 janvier 1855 à Chuelles (Loiret) ; garçon-restaurateur ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Garde, en 1871, au 118e bataillon fédéré, il fut condamné le 24 février 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine fut commuée en résidence obligatoire en 1878 et finalement remise la même année.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/837 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.