Né en 1821 à Saint-James (Manche) ; cheminot à Paris.
Charron, travaillant à Paris au chemin de fer du Nord et garde national de La Chapelle, François Belloir fut blessé en combattant le 24 juin 1848 barrière Poissonnière (IIe et IIIe arr., maintenant IXe et Xe). Membre du Club des Travailleurs, aux Arts et Métiers, il fut cependant libéré en août en raison des bons certificats de son contremaître et de son ingénieur, le saint-simonien Henri Fournel*.
SOURCE : Arch. Min. Guerre, A 11950.