Né le 2 juillet 1818 à Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) ; chapelier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie, où il mourut.
Enrôlé volontaire au début de la Commune de Paris, il était garde au 258e bataillon fédéré. Condamné, le 23 avril 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple, il mourut à l’hôpital de l’Île des Pins, le 12 juillet 1877.
Veuf, François Silvestre n’avait pas d’enfants.
SOURCE : Arch. Nat., BB 27.