SILVESTRE François

Né le 2 juillet 1818 à Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) ; chapelier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie, où il mourut.

Enrôlé volontaire au début de la Commune de Paris, il était garde au 258e bataillon fédéré. Condamné, le 23 avril 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple, il mourut à l’hôpital de l’Île des Pins, le 12 juillet 1877.

Veuf, François Silvestre n’avait pas d’enfants.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article71031, notice SILVESTRE François, version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 2 août 2020.

SOURCE : Arch. Nat., BB 27.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable