Né le 9 juin 1853 à Paris ; chiffonnier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde dans un bataillon de chasseurs fédérés, il fut arrêté le 21 mai 1871 ; il avait combattu. « Sa conduite était irrégulière, sa moralité douteuse ». Condamné, le 30 mars 1872, par le 20e conseil de guerre, à la déportation simple, il arriva à Nouméa le 9 février 1873. Il obtint la remise de sa peine le 15 janvier 1879 ; il rentra par le Calvados.
Jean-Jacques Simon était célibataire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/839 et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.