SIMONET Jean (ou SIMONNET Jean)

Le 30 avril 1871, « Simonet, en tenue de garde national et portant les galons de sergent, a été rencontré sur la place de la Guillotière armé de son fusil ». Par contumace, le conseil de guerre de Lyon le condamna, le 13 décembre 1871, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il n’avait subi auparavant aucune condamnation.
Était-il affilié à l’Internationale ? À cette question, les auteurs du rapport ont répondu par un point d’interrogation.
À partir de mars 1871, il vécut réfugié à Genève où il exerça le métier de mécanicien.
Il fut gracié le 8 mai 1879.