Militant de l’AIT à Paris ; communard, mort dans les combats.
Au cours de l’Assemblée de la section de l’Internationale Gares d’Ivry et Bercy réunies, tenue le 28 avril 1871, il fut décidé, sur proposition de Nostag, Chaudesaigues, Artru « et autres », que cette section adopterait « les enfants du citoyen Jean Simonot, assassiné par les Versaillais », et qu’un conseil de famille, composé des citoyens Carville, Chollet (ou Choliet ?) et Rossignol serait chargé de l’exécution de cette décision. (Les Séances officielles de l’Internationale à Paris pendant le Siège et pendant la Commune, op. cit.).
Simonot, qui habitait, 13, rue Nationale, dans le XIIIe arr., était archiviste de la section (cf. La Révolution politique et sociale, 2 avril 1871, et Dict., t. IV, p. 54).