Né le 14 octobre 1833 à Plouvorn (Finistère) ; terrassier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avait été condamné avant 1870 sept fois pour vagabondage ou rupture de ban ; passé à la Garde nationale pendant la Commune de Paris, il fut condamné, le 20 janvier 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié, il rentra par la Picardie.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.