Né le 27 septembre 1829 à Parnac (Indre) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Garde au 257e bataillon fédéré, il fut condamné, le 7 mars 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il rentra par la Picardie.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.