Né le 15 février 1829 à Lurcy-Lévy (Allier) ; demeurant à Paris, rue Marcadet (XVIIIe arr.) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Marié en secondes noces, père de trois enfants. En 1871, Subert fit partie du 189e bataillon de la Garde nationale ; il avait été élu lieutenant, après le 18 mars, dans la 7e compagnie ; il semblerait avoir occupé des barricades du quartier des Batignolles, XVIIe arr. Arrêté le 17 juin 1871, il fut condamné, le 11 octobre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Il vit sa peine commuée le 11 août 1876, en six ans de détention, puis remise le 20 octobre 1877 ; il rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/798 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.