SUPPLY Jules, Edmond

Il était célibataire. Pendant le 1er Siège, il ne fit pas partie de la Garde nationale ; il serait entré le 1er mai 1871 comme simple garde dans une compagnie de marche du 212e bataillon ; fait prisonnier le 22 mai à Passy (XVIe arr.), il fut condamné, le 10 avril 1872, par le 9e conseil de guerre, à cinq ans de détention, à la privation des droits civiques et à la surveillance à vie ; il obtint la remise de sa peine le 16 décembre 1872, avec privation des droits civiques, la surveillance étant réduite à dix ans.