Communard
Garde national fédéré d’une compagnie franche, il reçut de la mairie du IIIe arr. de Paris, à la date du 3 mai 1871, la somme de 50 F au titre de secours en argent aux blessés. Voir Abadie.
SOURCES : J.O. Commune, 21 mai 1871, et Les Murailles politiques françaises, t. 2 : La Commune, Paris, 1874, pp. 540-541.