Militant de l’opposition républicaine stéphanoise sous le Second Empire — avec Pierre Boissonnet et Fontvieille.
Il fit partie du Comité de la démocratie radicale en 1869 ; emprisonné, il fut nommé, le 5 septembre 1870, par le nouveau préfet de la Loire, César Bertholon, président du Comité départemental désigné pour remplacer le conseil général. Boudarel et Bouzols étaient vice-présidents ; Abrial et Duvand, secrétaires. Thomas faisait partie du Comité central républicain de Saint-Étienne. Il mourut le 9 janvier 1871.
SOURCE : L’Éclaireur de Saint-Étienne, passim.