Né le 6 février 1836 à Villejuif (Seine) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avait subi avant 1870 sept condamnations, dont trois pour vol, deux pour coups, une pour outrage à agents et une autre pour outrage à la pudeur ; c’était un ivrogne.
Condamné, le 15 juin 1872, à la déportation simple, pour faits insurrectionnels, il arriva à Nouméa le 9 février 1873. Il fut amnistié et rentra par le Tage.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.