Né le 11 janvier 1845 à Château-l’Hermitage (Sarthe) ; ajusteur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. En 1871, il était garde au 192e bataillon fédéré. Il fut condamné, le 18 mai 1872, par le 4e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Il vit sa peine commuée en sept ans de prison en 1878, puis fut amnistié.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/846. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.