Né le 12 février 1835 à Paris ; employé de commerce ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il avait fait faillite le 13 février 1869 à Versailles (Seine-et-Oise).
« Il paraît avoir commandé ce bataillon (le 272e fédéré) jusqu’au 25 avril 1871 » ; le 2 mai, il était lieutenant-colonel, au 4e régiment de marche ; vers le 15 mai, il devint commandant des forces d’Asnières.
Condamné, le 25 novembre 1874, à la déportation dans une enceinte fortifiée, il arriva à Nouméa le 23 septembre 1875. Il fut amnistié et rentra par la Creuse.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/813. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.