VALISSANT Constant, Édouard

Il était marié, père de deux enfants. Employé à la boulangerie de l’administration générale des hospices de la Seine, il paraîtrait s’être fait incorporer à la 3e compagnie sédentaire du 134e bataillon de la Garde nationale vers le 10 avril 1871. Il fit du service intérieur. Il fut fait prisonnier le 25 mai, place Jeanne-d’Arc (XIIIe arr.).
Il était signalé comme ivrogne. Condamné, le 13 mai 1872, par le 3e conseil de guerre, à cinq ans de détention, il vit sa peine réduite à trois ans de prison, le 20 janvier 1875.