Né en 1848 à Dorat (Haute-Vienne) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il avait été cinq fois condamné pour mendicité et vagabondage avant 1870. Il fut condamné pour sa participation à la Commune de Paris à une peine de déportation simple et transporté en Nouvelle-Calédonie par le 2e convoi, arrivé le 2 novembre 1872 à Nouméa (n° matricule 189). Il fut amnistié en 1880. Son sort ultérieur n’est pas connu.
SOURCES : Roger Pérennès, Déportés et forçats de la Commune, de Belleville à Nouméa, Nantes, Ouest éditions, 1991. — Notes de M. Cordillot.