Né le 19 juin 1854 à Paris ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Monteur de fermoirs de bourses à Paris. Christophe Zimmer avait subi avant 1870 deux condamnations et avait été arrêté deux fois pour vagabondage. En 1871, il était garde au 197e bataillon fédéré. Il fut condamné le 16 décembre 1871, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.