Né le 16 février 1847 à Paris ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Célibataire, « se disant relieur », Charles Zindt avait subi trois condamnations pour vagabondage avant 1871.
Il fut condamné, le 29 avril 1872, par le 11e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels, peine commuée, en 1877, en résidence obligatoire. À l’île des Pins, il eut une bonne conduite et fit montre d’une bonne moralité dit l’administration. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.