Militant syndicaliste lyonnais, délégué avec Camblong, Massot, Pitiot et Puygrech, par la chambre syndicale des chauffeurs mécaniciens de Lyon (Rhône) au congrès constitutif de la Fédération nationale des syndicats (Lyon 11-16 octobre 1886), Amouroux vota avec la majorité révolutionnaire.
SOURCE : Compte rendu du congrès.