Directeur-gérant du Progrès socialiste de Toulouse, journal socialiste d’union dont la première série parut du 14 avril 1895 au 5 janvier 1896, Bourret fut seulement un des administrateurs et des collaborateurs du journal lorsque celui-ci devint organe du POF (deuxième série : 31 octobre 1896-17 janvier 1897). Tout en demeurant « organe collectiviste », le Progrès socialiste cessa ensuite d’être propriété du POF Bourret continua d’y collaborer.
Ce militant socialiste appartint au chantier toulousain de la Chevalerie du Travail française, chantier dont l’existence est attestée en 1898.
SOURCE : M. Dommanget, La Chevalerie du Travail française, 1893-1911, Lausanne, 1967, pp. 361-363.