Il assista comme délégué au congrès constitutif de la Fédération nationale des syndicats qui se tint à Lyon en octobre 1886. Il y représentait, avec Amouroux, Massot, Pitiot et Puygrech, la chambre syndicale des Chauffeurs-Mécaniciens de Lyon. Il vota avec la majorité révolutionnaire.
SOURCE : Compte rendu du congrès.