Par Maurice Moissonnier
Teinturier, 35, quai Pierre-Scize, à Lyon (Rhône).
La police lyonnaise voyait en lui un « socialiste enragé » membre de la société des libres penseurs. En 1872-1873 sa plus grande activité se déployait au sein du « Cercle fraternel de Pierre-Scize », organisme qui, en dépit d’un apolitisme proclamé (art. 3 des statuts), tentait de renouer avec les luttes de l’Internationale lyonnaise. Le 22 octobre 1873, le préfet prononça la dissolution du cercle. Voir Cayoux J.
Par Maurice Moissonnier
SOURCE : Arch. Dép. Rhône, 4 M 826.