Militant syndicaliste, il fut élu en 1893 au comité de l’union des ouvriers tullistes de Calais et, en 1898, licencié de l’atelier Deros. En 1900, il fut envoyé à Douvres par l’union pour collecter des fonds, puis il fut délégué à Paris pour demander l’appui du groupe parlementaire socialiste, lors de la grève déclenchée pour l’obtention de la journée de huit heures.
SOURCES : Arch. Dép. Pas-de-Calais, M 1733, 1735, 1784, 1816.