Il assista comme délégué aux séances du congrès ouvrier de France qui se tint à Paris du 2 au 10 octobre 1876. Il représentait la chambre syndicale parisienne des menuisiers en bâtiment. Il intervint le 6 octobre sur la question des « Conseils de Prud’hommes ». Il critiqua l’idée de Barberet de remplacer les Prud’hommes par des commissions arbitrales mixtes qui donneraient trop d’influence à l’État et aux patrons. Il refusait la multiplication des catégories professionnelles à l’intérieur des Prud’hommes et préconisait l’élection des présidents et vice-présidents par les conseils de Prud’hommes. Il demandait la suppression du livret, toujours exigé pour ces élections. Voir Guillet.