Journaliste socialiste, G. Laporte appartint au chantier parisien du XVIIIe arr. de la Chevalerie du Travail française. Vers 1895, il devint secrétaire général de la société. Franc-maçon, il appartenait, depuis 1887, à la loge « Pyramides ».
SOURCE : M. Dommanget, La Chevalerie du Travail française, op. cit.