Il présida la « Fédération syndicaliste des Jaunes de France » constituée en mai 1908 en même temps qu’était créé le « Parti propriétiste » dirigé par Biétry, ces deux organisations résultant de la séparation entre syndicalistes et politiques au sein de l’ancienne « Fédération des Jaunes de France ».
SOURCE : R. Brécy, Le Mouvement syndical en France, op. cit., pp. 12 et 13.