Ouvrier aux PTT, marié — sa femme travaillait comme femme de chambre chez un particulier — père d’un enfant, Peyraud, réformiste, était ainsi qualifié dans un rapport de police du 14 mars 1910 : « intelligent », « très estimé dans son quartier ». Il fut en 1909 trésorier, puis, de 1909 à 1911, trésorier adjoint de la Bourse du Travail de Montpellier. Voir Niel L.
SOURCES : Arch. Nat. F7/13 567 et F7/13 603. — La Dépêche de Toulouse, 28 février 1909. — Le Travailleur syndiqué, 1911.