Délégué des chambres syndicales fédérées de Rennes (Ille-et-Vilaine) au congrès du Havre (1880), Stot se rangea parmi les collectivistes. Au cours de la scission survenue deux ans plus tard, il figura parmi les possibilistes et il représenta les instituteurs et institutrices laïques libres de Paris au congrès de la FTSF à Rennes (1884).