Employé de chemin de fer, il fut candidat socialiste indépendant non investi en 1900 dans le quartier du Combat (Paris, XIXe arr.) où il obtint 0,22 % des voix.
SOURCE : Michel Offerlé, Les socialistes et Paris, 1881-1900. Des communards aux conseillers municipaux, thèse de doctorat d’État en science politique, Paris 1, 1979.