OLIVIÉRI Jean, Charles

Par Madeleine Singer

Né le 21 octobre 1931 à Alger (Algérie), mort le 11 juin 2018 à Nice (Alpes-Maritimes) ; professeur certifié de lettres classiques ; membre du « triumvirat » qui, après la démission des secrétaires académiques successifs, les remplaça en octobre 1959 à la tête du Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN) dans l’académie d’Alger, puis secrétaire de cette académie d’octobre 1960 à 1962.

Jean Oliviéri était l’aîné des deux enfants de Charles Oliviéri, inspecteur des PTT à Alger, qui avait épousé Germaine Bazin, surveillante des PTT dans la même ville. D’abord élève de l’école primaire Dordor à Alger, Jean Oliviéri entra en Sixième en 1942 au lycée Bugeaud d’Alger, passa le baccalauréat en 1949, fréquenta alors pendant un an l’hypokhâgne du lycée et suivit les cours de la faculté des lettres d’Alger. Il obtint en 1952 la licence ès lettres classiques et le DES l’année suivante. Il fit son service militaire de novembre 1954 à décembre 1955. Admis au CAPES en 1956, il fut après une année de CPR nommé au lycée Bugeaud où il exerça jusqu’en 1963. Dépendant de l’OUCFA (office universitaire et culturel français pour l’Algérie) depuis l’indépendance du pays, il fut de 1963 à 1964 censeur par intérim au lycée Descartes d’Alger, puis professeur dans ce lycée jusqu’à sa nomination en 1973 au lycée Calmette de Nice (Alpes-Maritimes) où il prit sa retraite en 1991. Il avait épousé en 1956 Christiane Sudre qui fut après son mariage documentaliste de lycée et adhéra au SGEN. Ils eurent une fille, maître de conférences à la faculté des lettres de Nice.

Syndicalisme universitaire avait, le 10 mai 1973, dénoncé les conditions dans lesquelles s’était faite cette mutation en métropole qui concernait également un coopérant, Pierre Augier. Tous deux avaient une fille, élève du lycée Descartes, qui fit partie des 38 élèves exclus temporairement de cet établissement. Un grand nombre d’élèves avaient, dans la cour intérieure du lycée, manifesté par la grève contre l’administration qui prétendit avoir exclu les plus excités bien que certains d’entre eux fussent ce jour-là absents… Des parents vinrent demander des explications au proviseur qui refusa d’en donner. Devant la tournure prise par les événements, Jean Oliviéri quitta assez vite le bureau du proviseur, mais celui-ci « voyant là, dit Syndicalisme universitaire, l’occasion de se débarrasser d’un enseignant trop brillant et trop libéral pour n’être pas gênant, l’accusa d’être un des « séquestrateurs » ». Le 6 avril, jour du premier conseil des ministres du nouveau gouvernement de Pierre Messmer, un télégramme du Quai d’Orsay ordonna le renvoi en France de Pierre Augier et de Jean Oliviéri. Toutefois avec l’accord tacite de l’Ambassade, ce dernier resta à Alger sans assurer de cours et ne rejoignit qu’à la rentrée de 1973 le lycée Calmette de Nice. Syndicalisme universitaire revint le 31 mai 1973 sur cette sanction en citant des extraits d’un texte publié par un groupe de parents, d’enseignants, de coopérants et de fonctionnaires français résidant en Algérie : « Ces deux fonctionnaires ont été sanctionnés sur la foi de rapports donc ils n’ont pas eu communicaton. Ils ont été tenus dans l’ignorance de la procédure engagée contre eux jusqu’au moment de la notification de la sanction. On ne leur a laissé aucune possibilité réelle de présenter leur défense et d’exercer un recours. Autant de faits qui sont en violation des réglements de la Fonction publique, relatifs aux procédures disciplinaires ». Le même texte ajoutait notamment que J. Oliviéri était « un homme de dialogue qui a fait preuve de clairvoyance, ce qui à une certaine époque demandait du courage (voir Le Monde de février 1960 « Plaidoyer pour la famille Hernandez ») », article que nous évoquerons plus loin.

Jean Oliviéri avait adhéré au SGEN dès son arrivée en 1957 au lycée Bugeaud car il désirait appartenir à un syndicat confédéré et se reconnaissait dans une idéologie chrétienne, humaniste et laïque. Comme étudiant, il lisait Le Monde auquel il fut abonné un temps jusqu’à ce que cela devint dangereux (lettres de menaces dans sa boite aux lettres) ; il lisait aussi L’Express dont c’étaient alors les débuts, parfois la revue Esprit, de petites publications telles que Conscience algérienne. Dès son adhésion il travailla dans la section syndicale SGEN en « parfait accord », dit-il, « avec mon collègue et ami Jean-Pierre Weiss »*, qui en était le secrétaire. Or depuis 1956 les secrétaires académiques successifs du SGEN à Alger quittaient les uns après les autres leur fonction car ils n’approuvaient pas la politique algérienne du SGEN. Un texte voté le 25 juin 1956 par le bureau académique, associé aux élus SGEN des commissions administratives paritaires académiques (CAPA), protestait contre la motion du comité national du 10 juin qui demandait « l’élaboration entre la nation française et les peuples d’Outre-Mer de rapports nouveaux fondés sur la compréhension du processus mondial de décolonisation ainsi que des mouvements nationalistes qui se développent dans les territoires sous-développés ». C’est ainsi que L. Vandevelle passa en juillet 1956 sa fonction de secrétaire académique à Sintes ; celui-ci quitta le SGEN en janvier 1958 et fut remplacé par Jean-Jacques Soléri, professeur de philosophie au lycée franco-musulman de Ben Aknoun, commune suburbaine d’Alger. En avril 1958 Jean Oliviéri participa au congrès national de Metz (Moselle) avec Jean-Jacques Soléri. Celui-ci y exposa la nécessité de multiplier les établissements où le français et l’arabe seraient à égalité afin de favoriser une double culture. Syndicalisme universitaire publia le 25 avril le texte de son allocution, à la demande des congressistes qui l’avaient jugée fort importante.

Mais à la rentrée de 1959, Jean-Jacques Soléri prévint Jean-Pierre Weiss qu’il abandonnait sa fonction. Il projetait de faire construire un grand immeuble pour les fonctionnaires et avait de la peine à s’inscrire dans une perspective d’indépendance où la France n’aurait plus de rôle en Algérie. D’ailleurs à cette époque, il était devenu le seul membre du bureau académique. Une assemblée générale des adhérents SGEN eut lieu le samedi 10 octobre 1959 au local de la CFTC à Alger. Elle permit la constitution d’un bureau académique de dix personnes, bureau dont Jean Oliviéri, Jean-Jacques Weiss et Madame Bouveret*, directrice du lycée franco-musulman de Kouba, commune suburbaine d’Alger, prirent la tête.

Les membres du « triumvirat » vécurent alors une période difficile pendant laquelle ils se répartirent les tâches, Madame Bouveret se chargeant des relations avec Paris. Ils allèrent aussitôt annoncer au Rectorat le départ de Soléri et présenter le nouveau bureau ; ils furent reçus par l’inspecteur d’académie Lanly, détaché au Rectorat pour le Premier et le Second degré. Celui-ci fut pour eux un interlocuteur de très grande qualité quoique, à cause d’un conflit avec le SNES, il dût leur annoncer qu’il ne les recevrait plus, les représentants syndicaux devant dès lors poser leurs questions par écrit. Mais en janvier 1960, les relations avec le Rectorat redevinrent normales : Jean Oliviéri et Jean- Pierre Weiss eurent avec M. Lanly une « entrevue agréable et cordiale », dit Madame Bouveret. Tous deux faisaient les démarches nécessaires pour sauvegarder les intérêts de l’ensemble de leurs collègues : promotions, mutations, nominations, etc.

Ils devaient en même temps réorganiser la section. Le compte courant du SGEN à Alger était bloqué car le trésorier démissionnaire Vandenhove avait la signature. Il fallut une attestation de Paul Vignaux annulant ladite signature et donnant le pouvoir aux deux signataires indiqués par Madame Bouveret car celle-ci jugeait plus prudent de ne pas en avoir un seul. L’effort du triumvirat portait aussi sur la propagande et le rassemblement des adhérents. Le 19 janvier 1960, Madame Bouveret pouvait annoncer à Paris que les effectifs avaient été « bien reconstitués », avec « un noyau d’adhérents conscients qui suivent attentivement et la situation politique et l’évolution syndicaliste et les affaires algériennes ». Dans la même lettre, elle transmettait, à la demande de J. Oliviéri, le cas d’un professeur du lycée Bugeaud, incorporé comme tous les enseignants dans les Unités territoriales, lesquels devaient au sortir de la classe revêtir l’uniforme et assurer une fonction militaire. Or ce professeur ayant demandé un changement de service pour aller en vacances dans sa famille à Noël, ne put partir que le 25 décembre au soir, après avoir assuré sa journée de garde !

Peu après le dimanche 24 janvier 1960, des barricades s’élevèrent à Alger dans le quartier des facultés. Dans la nuit, le général de Gaulle, président de la République, adjura ceux qui se dressaient à Alger contre la patrie, « de rentrer dans l’ordre national ». Le 29 janvier, il s’adressa aux Français d’Algérie et à l’armée : « L’autodétermination est la seule issue possible ». « Aucun soldat ne doit, sous peine de faute grave, s’associer à aucun moment, même passivement, à l’insurrection ». Les insurgés se rendirent le 1er février. Mais sans attendre l’issue de la crise, le bureau académique SGEN d’Alger avait voté le jeudi 27 janvier — alors jour de congé — une motion où il « réaffirmait avec force son attachement à la politique d’autodétermination définie par le gouvernement légal du pays » et « voyait uniquement dans l’insurrection algéroise une tentative contre la France et la démocratie fomentée par certains éléments européens extrémistes sans aucune participation musulmane ». Ce texte fut publié en première page de Syndicalisme universitaire le 17 février 1960 ; le bureau national l’accompagna d’un « hommage à l’indépendance d’esprit et au courage » dont les camarades d’Algérie « viennent de faire preuve une fois de plus ».

Le Monde du 25 février 1960 fit paraître en première page un article de Jean Oliviéri qui attira l’attention de Paul Vignaux. Dans ce « Plaidoyer pour la famille Hernandez », J. Oliviéri revenait sur « le drame de cette semaine tragique » qui avait dressé entre la France et l’Algérie « une double barricade, faite d’une part de froide raison et d’indignation, de l’autre de passion et d’amertume ». Il avait choisi ce nom d’Hernandez parce qu’il était très courant à Alger et en outre parce que cela faisait allusion à une pièce composée et jouée quelques années auparavant par Geneviève Baïlac, La famille Hernandez : cette œuvre avait eu beaucoup de succès en Algérie, elle était très connue car elle représentait de façon humoristique le petit peuple de Bab-el-Oued, c’est-à-dire du quartier populaire de la ville. Jean Oliviéri disait dans son article qu’Hernandez rassemblait en lui toutes les qualités et les défauts de l’homo mediterraneus. Celui-ci rêve d’une France mythique parce qu’il ne connait rien de la France réelle, mais le bruit des fusillades l’a réveillé. Il faut donc faire son éducation et « ramener un espoir raisonnable dans des cœurs désespérés », montrer à Hernandez qu’il pourra toujours se « retrouver en famille chez lui, dans une Algérie nouvelle où il devrait, Français, pouvoir demeurer. En famille aussi en France, avec son frère qu’il devra bien accepter différent et qui devra bien l’accepter aussi ». Lors de l’assemblée générale du SGEN à Alger, le 20 octobre 1960, Jean Oliviéri fut élu secrétaire académique après que Jean-Pierre Weiss eut présenté le rapport moral où il fit état des difficultés rencontrées en octobre 1959 pour assurer la continuité de l’action du SGEN en Algérie.

Jean Oliviéri m’écrivit plus tard qu’il avait assumé sa fonction avec « l’appui fidèle et solide de Weiss et de Madame Bouveret ». Avec Jean-Pierre Weiss, il constitua les listes de candidats pour les élections aux CAPA du 21 mars 1961, étant eux-mêmes têtes de liste, l’un pour les agrégés, l’autre pour les certifiés. Ce ne fut pas une mince affaire car ils étaient ultra minoritaires ; aussi n’eurent-ils pas d’élus. À partir de cette époque, ajoutait J. Oliviéri, « on hésitait à parler, à écrire même. Comme je l’ai écrit à ce moment à Vignaux et à Jean Mousel*, on ne pouvait sur place que se taire et se terrer. Les activités syndicales étaient en sourdine. Les positions nationales suffisaient à nous mettre en danger déjà, sans que nous ayons à les renforcer par des déclarations locales. Aussi nos réunions étaient quasi confidentielles et nous nous contentions de « maintenir » le syndicat aux yeux des autorités académiques (démarches, commissions paritaires) et aux yeux des collègues. Mais nous ne pouvions prendre aucune initiative et la prudence était de règle, même dans la correspondance avec Paris ».

L’OAS (organisation armée secrète), groupement constitué en février 1961 par les partisans irréductibles de l’Algérie française, multipliait les attentats. L’un d’eux, le 30 mai 1961, visa Yves Vié Le Sage*, secrétaire départemental du SGEN à Oran, qui envoya immédiatement en France sa femme et ses trois enfants. En octobre 1961, à la sortie du lycée Bugeaud, vers 16 heures ou 17 heures, une voiture mitrailla le perron de l’immeuble : c’était sans doute des représailles d’origine FLN (front de libération nationale) car la veille un attentat de l’OAS, dans une rue voisine, avait visé des musulmans. Cette rafale de mitraillettes ne fit miraculeusement pas de victimes. Mais sous le coup de l’émotion, une douzaine de professeurs parmi lesquels Jean Oliviéri, alla aussitôt chez le Recteur en une délégation intersyndicale qui comprenait aussi des non-syndiqués. Ils arrachèrent par la force une audience au Recteur qui les reçut à contrecoeur : « Etait-il nécessaire de venir si nombreux ? », déclara-t-il. Ils réclamèrent, mais en vain, la fermeture du lycée : nous ne pouvons plus faire cours dans ces conditions ; « Non possumus », avait dit un vieux professeur. J. Oliviéri ajouta que quelques mois plus tard, quand le Rectorat fut plastiqué, le Recteur partit en France apparemment sans demander son reste…

Bien entendu Jean Oliviéri avait envoyé au bureau national un compte rendu de cette audience dont Paul Vignaux accusa réception à son retour du Canada dans sa lettre du 17 novembre 1961. Dans cette même lettre, celui-ci annonçait le retour en métropole de Vié Le Sage, « muni d’un exeat du Vice-Recteur d’Oran » car il avait été plastiqué à nouveau le 5 novembre. Paul Vignaux ajoutait que le Syndicat faisait tout pour « obtenir des autorités la protection qu’elles doivent aux enseignants libéraux ». A la suite d’une nouvelle lettre de Jean Oliviéri, Paul Vignaux lui indiqua le 8 décembre 1961 les papiers dont devaient se munir les enseignants menacés, obligés de se replier en métropole.

Le premier semestre 1962 fut une période dramatique. Un attentat de l’OAS visa le secrétaire SNES du lycée Bugeaud : on tira sur la voiture qu’il conduisait, avec sa femme à ses côtés. Les deux passagers furent blessés, mais pas trop grièvement, les balles ayant passé pour l’essentiel entre leurs sièges. À partir de là, il y avait manifestement danger pour Jean- Pierre Weiss et pour Jean Oliviéri. Par une note du 5 mars 1962, Paul Vignaux sollicita donc du ministre le retour de ce dernier en métropole, J-P. Weiss dont la femme enseignait aussi à Alger n’ayant pas demandé à partir. Les vacances de Pâques furent avancées en Algérie de quelques jours, vu la tension qui y régnait : le 17 mars, on annonça qu’elles débuteraient le lendemain. Le ménage Weiss réussit le 18 à prendre un bateau pour la France avec Jean Oliviéri accompagné de sa femme et de sa fille. Vers le matin un message du capitaine leur apprit que les accords d’Evian (Haute- Savoie) venaient d’être signés entre le gouvernement français et le GPRA (gouvernement provisoire de la république algérienne).

À l’issue des vacances de Pâques, Jean Oliviéri ne rentra pas en Algérie, pas plus qu’un certain nombre de professeurs du lycée Bugeaud parmi ceux qui se sentaient les plus exposés. Le lycée rouvrit, mais l’enseignement y était désorganisé car on ne pouvait remplacer les professeurs absents et les familles de « Pieds-noirs » (on désignait ainsi les Français nés en Algérie) commençaient à partir. Les professeurs présents venaient pointer, mais ne faisaient pas cours, faute d’élèves. Grâce à la compréhension du censeur, le traitement de J. Oliviéri ne fut pas suspendu ; il fut restitué plus tard à ceux qui en avaient été privés.

Quand Jean Oliviéri revint en Algérie pour la rentrée du 1er octobre 1962, les syndicats français ne pouvaient plus exister dans un pays devenu indépendant. Une assemblée générale des adhérents SGEN eut lieu à Alger le dimanche 11 novembre 1962 ; elle avait pour objet de transformer la section académique en une association qui prit le nom d’Association générale de l’enseignement public, de la recherche et de la coopération technique (AGEP). En qualité d’ancien secrétaire académique, J. Oliviéri présida la séance de constitution de l’AGEP, mais ne voulut pas accepter la présidence de l’association comme on le lui demandait, jugeant préférable de laisser la place à un « nouveau », en l’occurrence un coopérant Paul Fournier. Il joua seulement un rôle de conseiller technique au bureau de l’AGEP où il fut présent par exemple le 10 janvier 1963 d’après le compte rendu de cette réunion. Il resta bien entendu membre de l’AGEP jusqu’à son retour en France.

Il réadhéra alors au SGEN, mais n’y exerça que des responsabilités locales telle que celle d’élu au conseil d’administration de son lycée sur la liste présentée par le Syndicat ; il cessa de cotiser à la veille de la retraite. Mais pendant les années difficiles de la guerre d’Algérie, il avait joué un rôle essentiel pour y maintenir la section académique dans la ligne définie par le SGEN national. Comme retraité, il eut des activités intellectuelles et pédagogiques diverses qu’il poursuivait encore en l’an 2000 : conférences, animation de stages en communication ou de stages de cinéma consacrés à la critique de films.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article87591, notice OLIVIÉRI Jean, Charles par Madeleine Singer, version mise en ligne le 21 avril 2010, dernière modification le 19 août 2021.

Par Madeleine Singer

SOURCES : Madeleine Singer, Le SGEN 1937-1970, Thèse Lille III, 1984, 3 vol. (Arch. Dép. Nord, J1471, notamment les cartons 3 et 4 pour les lettres) ; Histoire du SGEN, Presses universitaires de Lille, 1987. ; Le SGEN. Des origines à nos jours, Paris, Le Cerf, 1993, collection Histoire. (Arch. Dép. Nord, J1578). — Syndicalisme universitaire (1958-1973). — Lettres de Madame Bouveret au bureau national, 23 novembre 1959, 19 janvier 1960. — Lettres de J. Oliviéri à M. Singer, 11 septembre 1979, 7 juin 1982, 19 juin 1995, octobre 1995, 25 novembre 1999, 21 janvier 2000, 29 janvier 2000 (archives privées).

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