ROSSIGNEUX Jean, Bernard

Par Madeleine Singer

Né le 13 avril 1930 à Dijon (Côte-d’Or), mort le 11 août 1992 à Dijon (Côte-d’Or) ; proviseur de LEP, agrégé en mécanique ; membre du comité national du Syndicat national des centres publics d’apprentissage (SNCPA) CFTC de 1956 à 1962, puis du comité national du Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN) de 1962 à 1972.

Jean Rossigneux était l’aîné des deux enfants de Bernard Rossigneux, un employé SNCF qui, pendant de nombreuses années, travailla en équipe de trois-huit ; celui-ci avait épousé Jeanne Girot. Jean Rossigneux entra en 1944 au CET Hyppolyte Fontaine à Dijon où il obtint en trois ans le CAP d’ajusteur et celui de dessinateur d’exécution ; il passa en même temps le brevet industriel et le brevet élémentaire. Il travailla alors un an dans une entreprise de charpente métallique, puis à partir de 1948 aux Ponts et chaussées en tant que dessinateur de travaux publics car il venait d’être reçu au CAP correspondant. Devenu en 1950 adjoint technique des Ponts et chaussées, il effectua pendant quatre ans des travaux sur routes, canaux et ponts, faisant les calculs, les projets et la topographie ; toutefois d’avril 1951 à octobre 1952, il avait accompli son service militaire dans l’armée d’occupation en Allemagne. En 1954 il entra, premier du concours, à l’École nationale normale d’apprentissage (ENNA) de Paris : après une année de formation pédagogique et technique, il fut en 1955 nommé au CET Pargeas de Troyes (Aube) en qualité de professeur d’enseignement technique théorique (PETT) en dessin industriel. Muté cinq ans plus tard au CET Les Marcs d’Or à Dijon, il passa en 1967 au CET Hyppolyte Fontaine quand la section de dessinateurs en bâtiment y fut transférée.

Inscrit en 1970 sur la liste d’aptitude aux fonctions de directeur de CET, il fut l’année suivante nommé au poste rectoral de secrétaire permanent pour développer l’Echelon régional de l’éducation permanente (EREP) qui deviendra la DAFCO (délégation académique à la formation continue) ; il eut désormais le titre de directeur de CET, puis celui de proviseur quand, à la rentrée de 1977, les CET s’appelèrent LEP (lycée d’enseignement professionnel). En 1973 il fut pendant un an coordinateur du centre intégré de formation de formateurs d’adultes (CIFFA) et devint en 1974 adjoint au délégué académique à la formation continue, avec responsabilité des publics prioritaires : migrants, détenus, femmes en recherche d’emploi, jeunes du contingent ou jeunes sans qualification. En 1981 il fut appelé au Conseil régional pour y mettre en place les « missions locales », instaurées par Bertrand Schwartz, délégué interministériel à la formation professionnelle et sociale des jeunes en difficulté ; ces missions avaient pour objectif d’accueillir, d’informer et d’orienter des jeunes de 16 à 25 ans, la plupart sans diplôme. En 1983 J. Rossigneux fut nommé directeur du service de l’apprentissage et de la formation continue au Conseil régional dont Jean-Pierre Soisson, vice-président à cette époque, devint en 1988 ministre du Travail et de la formation professionnelle. Jusqu’à sa mort prématurée en 1992, J. Rossigneux collabora intimement avec le ministre qui reprit à son compte l’essentiel de ses idées et de ses initiatives. J. Rossigneux participait en même temps au Comité régional emploi formation (COREF) en tant que personne qualifiée représentant la DAFCO, et au Conseil économique et social régional (CESR), représentant le Conseil régional pour les questions concernant les jeunes, l’apprentissage et la formation. Par promotion interne, il avait été nommé en 1982 certifié dans le cadre des proviseurs de LEP, puis en avril 1992 agrégé dans le même cadre.

Jean Rossigneux avait épousé en 1954 Marie- Josèphe Petit qui travaillait avec ses parents agriculteurs et militait à la JACF (jeunesse agricole catholique féminine). Ils eurent deux enfants : une fille professeur d’arts plastiques en centre de formation par alternance (CFA), un fils ingénieur en électricité et mécanique des fluides. Jociste jusqu’à son mariage, J. Rossigneux était alors responsable de la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) pour la Côte-d’Or et avait, dans le cadre de cette association, animé pendant cinq ou six ans un groupe d’apprentis (plombiers, mécaniciens, etc.). Après son mariage il fréquenta avec sa femme jusque 1968-1970 le groupe d’ACO (action catholique ouvrière) avec lequel ils étaient en conflit larvé sur le principe de la « révision de vie » : on leur reprochait, me dit-il, d’amener des faits de « vie laïque » en parlant des élèves, des professeurs. En arrivant à Dijon, ils espéraient trouver une autre ACO, ce qui ne fut pas le cas. J. Rossigneux se tourna alors vers les Equipes techniques, rattachées à la Paroisse universitaire. Par ailleurs tous deux tinrent à diverses reprises une Auberge de jeunesse pendant les vacances, à Mizoen près d’Orcières (Hautes Alpes) en 1958, puis aux Rousses (Jura) en 1959 et à nouveau à Orcières en 1962. Pour achever de situer Jean Rossigneux à cette époque, ajoutons que peu après son mariage il devint lecteur de Témoignage chrétien auquel il demeura fidèle pendant vingt ans ; l’hebdomadaire accueillit le 18 mars 1971 son article, « Le technique » ne doit plus être l’école des « pauvres ». Il s’intéressa quelques années plus tard à la revue Esprit ainsi qu’au groupe Reconstruction, découvert pendant son séjour à Troyes grâce à un collègue de son CET. Il s’y sentit tout-de- suite à l’aise, me déclara-t-il, car on n’y parlait plus d’ACO.

Issu d’une famille ouvrière, Jean Rossigneux trouva tout naturel en arrivant à l’ENNA de se syndiquer au SNCPA qui était affilié à la CFTC, c’est- à-dire à une confédération ouvrière. Dès sa nomination à Troyes en 1955, il devint secrétaire de la section de son établissement. Au congrès national de mars 1956, il remplaça l’ancien secrétaire académique des centres d’apprentissage qui habitait une ville de la Haute-Marne moins bien reliée à Dijon. Dès lors les tâches ne lui manquèrent pas. Le 2 février 1957, il organisa une réunion académique du SNCPA à l’Union départementale (UD) CFTC de Dijon, avec la participation de leur secrétaire général Pierre Dupont*, lui-même se chargeant d’exposer la situation du Syndicat dans l’académie. Le mois suivant, il assista au congrès académique du SNCPA à Paris, sans doute parce que la formation professionnelle était au programme. Membre du comité national en qualité de secrétaire académique, il entra lors du congrès national d’avril 1957 au bureau national du SNCPA qu’il n’allait plus quitter. On le retrouva donc le 2 mars 1958 présidant à Nantes (Loire-Inférieure, aujourd’hui Loire-Atlantique) un congrès qui réunissait les adhérents des académies de Poitiers (Vienne) et de Rennes (Ille et Vilaine).

Or toutes ces responsabilités impliquaient de nombreux déplacements. Il devait se rendre à Paris pour les réunions mensuelles du bureau national et pour celles du comité national (rythme trimestriel), assister au congrès national (rythme annuel) qui se tenait dans diverses villes (Paris, Metz, Poitiers, etc.). A cette époque le trajet Troyes-Paris demandait environ 1 h 30 tant à l’aller qu’au retour ; quand J. Rossigneux résida à Dijon, la durée du voyage doubla. En arrivant dans cette ville en 1960, une nouvelle responsabilité lui échut car le secrétaire académique général, Guy Grand*, nommé inspecteur général, devait quitter ses fonctions syndicales. Ce dernier fut remplacé par Jacques André*, professeur d’histoire à Nevers (Nièvre), qui vu l’éloignement eut besoin d’un secrétaire académique adjoint résidant à Dijon. Ce fut Jean Rossigneux qui assura les démarches au Rectorat ainsi qu’un rôle de représentation du SGEN en diverses circonstances. C’est seulement en 1965 que l’académie eut, avec Jean Cœurdevey, professeur de psychopédagogie à l’École normale d’instituteurs de Dijon, un secrétaire capable de remplir pleinement son rôle.

Pendant cette période, Jean Rossigneux fut en outre secrétaire départemental des CET pour la Côte- d’Or et même occasionnellement pour l’Yonne, comme on le voit par le Syndicalisme universitaire du 7 avril 1965 et par ses notes personnelles du 22 septembre 1963, d’après lesquelles il cumulait alors « dix responsabilités diverses ». Lors des élections aux commissions administratives paritaires nationales (CAPN) du 4 décembre 1959, il avait été élu à la CAPN des PETT, avec la liste d’entente intersyndicale des quatre organisations des CET. La CGT et les autonomes n’ayant pas reconduit l’accord lors des élections suivantes, le SNCPA qui était depuis 1959 le SNCET (syndicat national des collèges d’enseignement technique) et qui s’était intégré au SGEN en avril 1962, présenta désormais des listes avec Force ouvrière.(FO) Jean Rossigneux fut ainsi réélu en 1962, puis en 1966 et en 1969, étant alternativement titulaire et suppléant selon l’accord passé avec FO. En même temps, élu également à la CAP académique des PETT en 1959 sur la liste intersyndicale, il fut réélu les années suivantes car dans ses notes du 22 septembre 1963, il évoquait le travail fait en commission. Aussi lorsqu’on publia dans Syndicalisme universitaire des comptes rendus des commissions relatives aux mutations, il les signa avec Pierre Dupont, élu à la CAPN des PEG.

Lorsque parut la circulaire du 28 novembre 1966 qui ramenait à 23 heures l’horaire hebdomadaire des PEG et des PETT, Jean Rossigneux avec Pierre Dupont en suivit l’application à partir de la rentrée suivante. Tous deux publièrent dans Syndicalisme universitaire en septembre et octobre 1967 des articles rappelant que les heures en sus des 23 heures devaient désormais être rémunérées en heures supplémentaires. Ils invitaient d’ailleurs les intéressés à les refuser car les accepter, disaient-ils, « c’est accepter que les créations de postes indispensables ne soient pas effectuées ; c’est aller à l’encontre de l’intérêt des élèves ; c’est participer à la dévalorisation de l’enseignement technique public ». Toute cette phrase était soulignée dans le texte afin d’attirer davantage l’attention des collègues.

Comme on le voit par ses articles dans Syndicalisme universitaire, c’étaient essentiellement les problèmes de formation des jeunes qui préoccupaient J. Rossigneux. En janvier 1965, il plaidait « Pour une initiation technologique » dans les classes de Quatrième et de Troisième, montrant que la technologie était un moyen d’expression et de communication. Deux mois plus tard, il exposait « Une expérience intéressante » qui avait lieu dans son CET, Les Marcs d’Or : devançant la réforme en vertu de laquelle les CET devaient à partir de 1967 accueillir des adolescents âgés de 15 ans et ayant le niveau du BEPC, on avait recruté sur examen, à l’issue de la classe de Troisième, 23 élèves pour une section qui allait former des dessinateurs en bâtiment. Bien entendu il fit partie de la petite équipe qui, autour de Jules Béneton*, secrétaire national des CET, publia en mars 1966 une brochure sur « Enseignement technique et formation professionnelle », laquelle exposait les positions du SGEN sur l’avenir des CET.

L’année suivante, lorsque le SGEN consacra le 1er juin 1967 un numéro entier à la formation professionnelle, J. Rossigneux donna deux importants articles, plaidant dans l’un « Pour un humanisme technique », dans l’autre pour « Un contrat des techniciens ». Sans pouvoir entrer dans le détail des mesures proposées, disons qu’il s’agissait essentiellement de modifier les relations entre le technique et l’Université de manière à « permettre au technicien d’entrer de plain-pied dans l’Université avec son bagage technique et par son bagage technique » ; on donnerait « l’équivalent de grade, de charges et de traitement à ceux qui possèdent cette technique » en faisant d’eux des certifiés. Aussi de 1968 à 1971, le bulletin Cadres du SGEN accueillit-il à plusieurs reprises les études de J. Rossigneux sur cette question.

Tout en demeurant membre du bureau national des CET, Jean Rossigneux était passé au comité national du SGEN quand le SNCET s’y était intégré. Il y joua un rôle actif notamment dans les années 1963-1965, lorsque les relations du SGEN furent difficiles avec une direction confédérale où pourtant l’ancienne « minorité » avait accédé au pouvoir, Eugène Descamps* étant devenu en 1961 secrétaire général de la CFTC. Jean Rossigneux expliqua au comité national de novembre 1964 que l’action du SGEN se heurtait maintenant à l’opposition de militants formés par l’Action catholique ouvrière (ACO) qui étaient jocistes avant d’être syndicalistes ; ceux-ci accusaient non plus le « laïcisme » des enseignants comme au temps de Gaston Tessier*, mais leur « esprit bourgeois ».

En 1972 Jean Rossigneux ne présenta plus sa candidature lors des élections aux CAPN car il avait changé de fonction. Pour la même raison, il quitta cette année-là le bureau national des CET ainsi que le comité national du SGEN où il siégeait depuis dix ans. Demeuré simple adhérent, il apporta occasionnellement son concours au bulletin syndical. Il y publia en janvier 1974 « A propos des CIFFA. La formation des adultes et le métier d’enseignant ». Puis en juin 1974, il évoqua la constitution des GRETA (groupement d’établissements dotés d’un conseiller en formation continue), en s’interrogeant sur la politique de formation qui sera suivie. Il fut en outre candidat sur la liste SGEN des directeurs lors des élections aux commissions consultatives spéciales pour les CET en 1977, pour les LEP en 1982. Vers 1985 il quitta le SGEN afin de structurer une section syndicale au sein du Conseil régional ; il adhéra alors à la Fédération INTERCO (CFDT) qui groupe les fonctionnaires des préfectures et de diverses collectivités locales.

En évoquant le rôle de J. Rossigneux au sein du SNCPA, puis du SGEN, nous n’avons pas encore signalé les autres faces de son activité. Dès son arrivée à Dijon, il milita dans le cadre de l’Union départementale (UD) CFTC. Lors du congrès départemental CFTC de 1962, il fut élu membre du bureau de l’UD ainsi que de la commission exécutive. Il fut responsable de la commission « jeunes » qui diffusa en 1968 mille questionnaires incitant ceux-ci à se prononcer sur leurs conditions de travail, leur formation professionnelle, etc. Cette commission reçut 203 réponses à partir desquelles il élabora une brochure, « Le livre pas rose de la jeunesse ».

En juin 1970, il céda à Jean-Claude Poignant la charge de secrétaire académique des CET car il avait accepté d’être secrétaire général de l’UD, ayant précisé qu’il ne serait qu’un secrétaire général « de transition ». Il eut à prendre la parole au cours de nombreux meetings : en mai 1970 sur la loi anticasseurs, en décembre 1970 à propos des basques espagnols, puis en février et en août 1971 lors des meetings du CNAL (comité national d’action laïque) sur la laïcité, en mai 1971 pour la paix au Vietnam et en juin 1971 à propos de la grève des cheminots. Il quitta alors son poste de secrétaire général, mais demeura jusqu’en 1973 au bureau de l’UD ainsi qu’à la commission exécutive. Il avait été élu en juin 1971 au Conseil de l’université au titre de l’Union régionale des syndicats CFDT de Bourgogne, mais fut remplacé en décembre 1971 par le secrétaire régional permanent CFDT Jean Denis car son affectation à l’EREP était devenue officielle.

Par ailleurs soucieux de faire progresser les idées qu’il défendait, Jean Rossigneux les exprimait dans diverses publications. Citons parmi les articles accueillis par un quotidien local, La dépêche, celui du 22 septembre 1967 où il évoquait « les nouveaux apprentis », c’est-à-dire les jeunes qui sortaient des classes de fin d’études primaires : ceux-ci pourraient désormais, au lieu d’entrer en apprentissage sous contrat, avoir dans la section d’éducation professionnelle 28 heures en entreprise et 12 heures en école. D’autres articles parurent dans le journal de l’UD-CFDT où il exposait par exemple en janvier 1967 « la loi-programme sur la formation professionnelle ». Dans L’éducation nationale, en janvier 1970, il montrait, avec le titre « Pédagogie et révolution », comment on pouvait réformer le système scolaire. Il ne dédaignait pas d’écrire dans le journal de l’Association syndicale des familles de Chénove, banlieue ouvrière de Dijon : en octobre 1970, il incitait les parents à agir afin de faire accroître la capacité des CET où le manque de place obligeait à « rejeter » les deux tiers des candidats. Les nouvelles fonctions que Jean Rossigneux exerça à partir de 1971 n’entravèrent pas son activité littéraire. En mars 1973, il envoya à Pierre Emmanuel, président du Conseil de développement culturel, un rapport sur « Un technicien et le français ». On lui en demanda d’abord 40 exemplaires pour les membres du Conseil, puis 50 pour la commission de réforme de l’enseignement du français, commission à laquelle il participa au nom du SGEN. Il collabora aussi en mai 1973 aux Cahiers pédagogiques. On retrouva encore sa signature en février 1978 dans la revue Éducation permanente.

Jean Rossigneux milita également sur le plan politique. Comme il me le disait en juillet 1982, il avait sympathisé dans sa jeunesse avec le MLP (mouvement de libération du peuple). Il adhéra à l’Union de la gauche socialiste (UGS), constituée en décembre 1957 ; les militants du MLP s’y regroupaient avec d’autres chrétiens de gauche, ainsi qu’avec des laïques de France-Observateur. Jean Rossigneux passa ensuite au Parti socialiste unifié (PSU), puis en mars 1978 au Parti socialiste (PS). Dans ses « Cahiers », il déclarait en avoir manifesté l’intention deux ans auparavant, mais le camarade contacté avait tardé à lui donner le barème des cotisations ! Au moment de sa mort, il était toujours adhérent du PS, avec des périodes d’opposition interne. Lors des élections municipales de 1983, il avait été candidat à Talant (Côte-d’Or) où il résidait, sur une liste d’Union de la gauche, mais il ne fut pas élu, ayant demandé à figurer parmi les derniers de la liste. En 1988 il fut nommé chevalier de la Légion d’honneur au titre du ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle. Sa femme, sollicitée par J-P. Soisson, avait fourni « en secret » les renseignements nécessaires car il avait déjà refusé les Palmes académiques ainsi que l’Ordre du mérite.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article87609, notice ROSSIGNEUX Jean, Bernard par Madeleine Singer, version mise en ligne le 21 avril 2010, dernière modification le 21 avril 2010.

Par Madeleine Singer

SOURCES : M. Singer, Le SGEN 1937-1970, Thèse Lille III, 1984, 3 vol. (Arch. Dép. Nord, J1471) ; Histoire du SGEN, Presses universitaires de Lille, 1987. — Le lien des Centres (1956-1962). — Syndicalisme universitaire (1962-1974). — Entretien de M. Singer avec J. Rossigneux chez Jean Cœurdevey, à Couchey (Côtes- d’Or), 15 juillet 1982. — Lettres de Madame Jean Rossigneux, son épouse, à M. Singer, lettres accompagnées de nombreux documents, 8 juin 1995, 5 mars 1999, 24 avril 1999, 6 juin 1999, 7 septembre 1999 (archives privées).

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