SERRIER Anne, Marie, Juliette

Par Madeleine Singer

Née le 16 juillet 1901 à Orléans (Loiret), morte le 28 octobre 1979 à Huby- Saint-Leu (Pas-de-Calais) ; agrégée de lettres ; membre du comité national du Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN) de 1946 à 1964.

Anne Serrier était la seconde des cinq enfants de François, Marie, Félix Serrier qui avait épousé Marie, Joséphine, Xavier Fournery. Quatre enfants étaient nés à Orléans : Louis, Anne, Elisabeth et Yvonne ; quant à Cécile qui se situait entre ses deux dernières soeurs, elle naquit en avril 1907 à Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret), commune voisine d’Orléans, où ses parents habitaient depuis 1906. François Serrier était chef d’une institution secondaire privée où il enseignait les lettres ; les actes de naissance des trois enfants précédents mentionnent simplement la qualité de professeur. Lors des élections législatives de 1906, il avait été candidat « républicain » dans la 1re circonscription d’Orléans. Sur la photo qui ornait le tract édité à cette occasion, il apparaissait avec un regard décidé, de longues moustaches et une abondante chevelure ; il y conservait son prénom lorrain de Franz qui était francisé sur les actes de naissance des enfants et l’on indiquait tous ses titres : « Ancien élève du lycée d’Orléans, licencié ès-lettres, chef d’institution d’enseignement secondaire, membre du groupe ouvrier d’études sociales, membre fondateur de la coopérative « La ruche orléanaise », membre fondateur et vice- président de la mutuelle « Le franc au décès » (section d’Orléans), membre fondateur et secrétaire de la société d’habitation « La ruche ouvrière », membre du Souvenir français ». Ayant échoué au scrutin de 1906, F. Serrier fonda en 1908 une imprimerie et cessa de travailler en 1938. Ami de Charles Péguy, il appartenait à une famille d’universitaires si l’on en juge par les témoins figurant sur les actes de naissance des enfants. Anne avait un bisaïeul « professeur honoraire de l’Université », un oncle maternel « professeur de mathématiques au lycée d’Orléans » ; un frère de son père était prêtre.

Avec un tel environnement, Anne Serrier qui avait d’abord fréquenté une école primaire privée à Orléans, dut faire de brillantes études au lycée de cette ville. Après le baccalauréat, elle entra au lycée de Versailles (Seine-et-Oise, aujourd’hui Les Yvelines) dans la classe préparatoire à l’École normale supérieure de Sèvres (Seine-et-Oise, aujourd’hui les Hauts-de-Seine). Anne fut alors interne au Pavillon bleu avec M. Lhopital qui rédigea la notice nécrologique pour le bulletin des anciennes élèves de Sèvres où elles entrèrent toutes deux en 1921. La surintendante qui gérait ce Pavillon, l’appelait « Anne-Marie d’Orléans » car elle ennoblissait toutes les internes en associant à leur prénom le nom de leur province ou de leur ville. A. Serrier était, dit M. Lhopital, une excellente latiniste à qui « l’effort philosophique ne faisait pas peur » : « Je lui sais gré de m’avoir délivrée d’un exposé sur Spinoza dont l’infini me déroutait ». Elle adorait, ajoute-t-elle, les discussions philosophiques et théologiques ; toutes deux prolongeaient leur conversation au sortir des séances de l’Union pour la vérité, rue Visconti. Elle était pleine d’entrain, ne se plaignait jamais de sa santé fragile, évoquait volontiers « la charmante figure de sa mère », « l’homme de foi qu’était son père » ; elle racontait la vie de son frère et de ses soeurs : « Nous étions unis, disait-elle, comme les cinq doigts de la main ». Elle parlait aussi de « ses multiples neveux dont elle a toujours suivi avec allégresse les activités universitaires, artistiques, théâtrales ». L’un d’eux « devait diriger le théâtre de Boulogne, puis de Suresnes. Elle recréait avec lui Mascarille, Scapin, Sosie ». Un autre « devait devenir professeur de physique à la faculté de Lille » ; il prit sa retraite en 1995 en qualité de professeur à l’Institut national polytechnique de Grenoble. « Une fois par an, Anne Serrier les réunissait tous dans une grande fête de famille ».

Elle dut sortir de Sèvres avec l’agrégation. On pense qu’elle fut d’abord affectée au lycée de Niort (Deux-Sèvres). Elle arriva vraisemblablement assez vite au lycée Jules Ferry à Paris car c’est là que Pierre Cournil la rencontra lors de la déclaration de guerre en 1939. Elle y fit toute sa carrière jusqu’à la retraite. Elle habitait, comme le dit sa camarade de Sèvres, « le clair appartement de la rue Ernest Gouin » qui était « un centre d’accueil ouvert aux esprits et aux mouvements les plus divers ». La famille n’était en effet pas son seul horizon. Pendant l’occupation elle s’efforça de cacher nombre de Juifs et de Résistants, avec l’aide de Dominicains, comme le rappela le Père Ferret dans l’homélie qu’il prononça pour ses obsèques. Celui-ci ajoutait qu’elle appartenait comme son père « à ces générations d’universitaires qui, dans des contextes politiques et culturels souvent difficiles, affirmèrent aussi tranquillement, aussi fermement, aussi iréniquement et non sans courage souvent, leur appartenance à l’Université que leur appartenance à la foi chrétienne ». Puis pendant la guerre d’Algérie, elle fut pour son frère Louis « une aide précieuse », dit-il, car celui-ci, « aussi courageux que noble », cherchait à limiter « les mauvaises conséquences à craindre des ruptures pour l’avenir de chacune des deux parties ».

En 1941 Anne Serrier fit partie de ce noyau de professeurs du lycée Jules Ferry qui fut à l’origine d’un groupe évangélique. Ce groupe dont elle fut toute sa vie l’un des piliers, se réunissait le premier dimanche de chaque mois. Après la messe, il y avait le déjeuner, puis une réunion d’études. Le groupe évangélique organisait également en juillet une semaine de session consacrée à des thèmes religieux. De 1955 à 1985 un bulletin Le lien de charité, conservé dans la bibliothèque du Saulchoir chez les Dominicains à Paris, assura la liaison entre les membres du groupe qui en compta jusque 175.

Anne Serrier dut adhérer au SGEN peu après la fondation du Syndicat en 1937, bien que les numéros du bulletin syndical, École et Éducation, parus avant- guerre, ne mentionnent pas son nom. Mais lors de la déclaration de guerre en 1939, elle se chargea avec Pierre Cournil de la publication d’École et Éducation. Lui-même âgé alors de 19 ans, venait d’être nommé instituteur à Bagneux (Seine, aujourd’hui Hauts-de- Seine) ; il sortait de l’École normale d’Auteuil (Seine- et-Oise, aujourd’hui Les Yvelines) où il avait été responsable du SGEN. Ensemble ils lurent les épreuves, s’occupèrent de la mise en pages de cette « feuille de liaison pour le temps de guerre ». Quatre numéros parurent ; le dernier fut celui du 15 avril 1940. Un cinquième, daté semble-t-il, de juin 1940, a été monté et expédié chez l’imprimeur, mais ne fut pas tiré à cause de l’invasion. Cette responsabilité confiée à Anne Serrier atteste une adhésion au Syndicat déjà ancienne, d’autant plus que dans un article du bulletin syndical, le 15 avril 1940, intitulé « Notre syndicalisme dans l’enseignement secondaire », elle rappelait que la fondation du SGEN en 1937 résultait notamment de l’exclusive prononcée par la CGT à l’égard des professeurs qui adhéraient à la fois au Syndicat autonome de l’enseignement secondaire, purement revendicatif et professionnel, ainsi qu’à la Fédération générale de l’enseignement (CGT) afin d’affirmer par là leur solidarité avec le monde du travail.

Dès la Libération Anne Serrier joua au SGEN un rôle important. Lors de la réunion où le Syndicat se reconstitua, le 26 octobre 1944, au siège de la CFTC à Paris, elle fut l’un des cinq orateurs et évoqua pour sa part « Le centre de formation et d’information » de la Confédération. Au cours d’un entretien en 1979 avec Paul Vignaux, celui-ci me disait qu’Anne Serrier fut convoquée avec d’autres membres de l’enseignement public à une réunion organisée, semble- t-il, par des Résistants qui donneront naissance au MRP (Mouvement républicain populaire), entre autres André Colin : dans Paris à peine libéré de l’occupation allemande, il s’agissait d’obtenir l’aval de ces enseignants pour le maintien à l’enseignement privé des subventions accordées par le gouvernement de Vichy (Allier), subventions que le retour à la légalité républicaine devait normalement supprimer. Comme Paul Vignaux le déclara dans le rapport par lequel en 1957 il rappelait « Vingt ans d’action syndicale », ce furent essentiellement A. Serrier qui avait fait partie de la Résistance, et Pierre Cournil qui aidèrent en 1944-1945 le secrétaire général Marcel Reinhard à maintenir en fait de laïcité la ligne d’avant-guerre car le président Émile Coornaert* ne cachait pas ses sympathies pour le MRP. On retrouva donc A. Serrier au comité national confédéral des 14-16 avril 1945 où elle dut contribuer à introduire dans la motion relative à l’éducation une réserve que ne contenait pas le texte initial : c’est elle, me dit Paul Vignaux, qui au congrès confédéral de septembre 1945, intervint pour obtenir que celui-ci ratifiât la motion du conseil national confédéral. Or le texte initial se déclarait « partisan d’un régime d’enseignement libre muni de moyens financiers qui lui permettront de distribuer ses bienfaits aux enfants des familles ouvrières ». Mais le texte adopté se contenta de demander « un système d’enseignement contrôlé par l’État, assurant l’exercice du droit des parents à faire donner à leurs enfants l’éducation de leur choix ».

Pendant cette année 1945, Anne Serrier collabora activement au bulletin syndical : en janvier et en mai, revue de presse relative à la polémique sur l’école ; puis en juin-juillet, « La réforme de l’enseignement à travers les hebdomadaires et les revues ». Elle s’était intéressée avec passion, dit Pierre Cournil, aux travaux de la commission extraparlementaire où en 1849 siégèrent Thiers, Falloux et l’abbé Dupanloup ; il pense qu’un membre de sa famille lui avait à ce sujet communiqué un document, peut-être « Les débats de la commission de 1849 », publié en 1879 par H. de Lacombe. Anne Serrier était alors secrétaire à l’information dans le bureau national provisoire instauré de mars 1945 à octobre 1945. Elle réapparut dans l’organigramme de mai 1946 : « responsable de la liaison avec la Société des agrégées ». Elue au comité national lors du congrès d’avril 1946, elle se trouva en octobre 1946 aux côtés de Pierre Cournil, François Henry et Henri Marrou* dans la commission de politique scolaire qui venait d’être créée et dont François Henry demeura responsable jusqu’à la disparition de ladite commission en 1950.

À la suite d’une pleurésie, A. Serrier céda à Madame Savajol en juillet 1947 la liaison avec la Société des agrégées et fut alors affectée à Briançon (Hautes-Alpes). À la rentrée d’octobre, elle figura dans École et Éducation comme responsable d’une « commission de défense de l’école » avec la mention « lycée de Briançon ». Désormais elle fut citée au comité national parmi les absents et l’on ne mentionna pas son nom lorsque le 17 juin 1948, le bureau national adopta une résolution sur la défense de l’école. Mais à partir de 1950 elle emmena une de ses nièces skier à Serre-Chevalier (Hautes-Alpes) où elle avait un ami sculpteur. On la revit en 1954 dans le bureau national au titre de la politique scolaire et, à partir du congrès de 1955, elle fut élue au comité national avec les huit autres candidats que Paul Vignaux présentait désormais sur une liste où figurait sa propre candidature au secrétariat général. Chargée en 1954 de la politique scolaire, elle devait, d’après le bulletin syndical, « recevoir les articles de presse régionale ou locale, de revues spécialisées de toutes tendances qui traitent du problème scolaire ». Aussi, lors des élections au Conseil d’enseignement du second degré, le 2 juin 1954, elle fut l’une des candidates SGEN pour les agrégées littéraires.

L’année suivante le SGEN fit grève, le 23 mars 1955, pour protester contre le projet de loi Saint-Cyr par lequel l’État allait participer aux dépenses de fonctionnement des centres privés d’enseignement agricole. A l’approche des élections législatives du 2 janvier 1956, il fallait éclairer ceux qui allaient voter : le comité national du 18 juin 1955 étudia la situation scolaire à partir d’un rapport d’Anne Serrier sur la loi Falloux (1850), rapport qu’École et Éducation publia le 5 octobre 1955. Nous ne pouvons résumer cette longue étude qui se terminait ainsi : « Les circonstances présentes sont tout autres. Mais le Comité pour la défense de l’enseignement, les engagements pris à son égard par des candidats qui ont, à défaut de conviction, la crainte de l’électeur, la critique hargneuse des instituteurs et la haine de l’Université, le climat politique dans lequel la loi fut votée, l’alliance acceptée avec des cléricaux voltairiens dont elle sert les fins réactionnaires, l’illusion que le dévouement tient lieu de tout et d’abord de culture, peut-on dire que tous ces éléments ne se retrouvent pas un siècle plus tard. Il y a des constantes dans la politique française »

C’est encore Anne Serrier qui, au comité national de mai 1959, fit une communication sur le pacte scolaire belge signé le 6 novembre 1958. En effet en France le gouvernement issu des élections de novembre 1958 envisageait depuis le 16 Janvier de se saisir de la question scolaire et allait créer à cet effet la commission présidée par Pierre-Olivier Lapie. Dans son exposé, Anne Serrier rappela la coïncidence dans l’histoire politique française entre une politique de subventions à l’enseignement privé et une politique générale de droite, notamment au temps de Vichy. Elle signala que, si cette revendication était satisfaite, la situation des catholiques enseignant dans l’enseignement public serait profondément modifiée : cet enseignement tendrait à devenir un enseignement pour les non-catholiques car les pressions se multiplieraient sur les familles catholiques pour que leurs enfants fussent confiés à l’enseignement confessionnel. Le comité national rappela dans une motion sa position constante : il n’acceptait l’intégration d’établissements privés au service public de l’Éducation nationale que si ceux-ci donnaient un enseignement général sans caractère confessionnel qui pourrait être suivi par des élèves de diverses opinions.

Les interventions d’Anne Serrier dans les comités nationaux ne se limitaient pas au problème scolaire. Elle se préoccupait aussi de pédagogie : classes pléthoriques, livret scolaire, lourdeur des programmes, articulation entre les cours complémentaires et le Second degré, cycle d’orientation, formation des maîtres. Lorsqu’en 1963-1964, le SGEN se soucia avec Antoine Prost* de poursuivre son projet de réforme de l’enseignement, A. Serrier rappela notamment qu’à la Libération, le Syndicat avait participé par son Président à la commission qui élabora le projet dit Langevin-Wallon. Depuis lors, ajouta-t- elle, « nous avons été pratiquement les seuls à essayer d’adapter progressivement les principes de cette réforme à des données démographiques, économiques et sociologiques qui se sont peu à peu modifiées ».

Anne Serrier ne négligeait pas pour autant son académie. Aussi put-elle à différentes reprises renseigner le comité national sur l’état d’esprit des enseignants dans les lycées parisiens, notamment après la crise de mai 1958. Son rôle sur le plan académique a été fort bien décrit par Claude Bouret qui, de 1957 à 1973, représenta le SGEN au conseil de l’Union régionale parisienne CFTC-CFDT, tout en étant secrétaire Premier degré pour la Seine. Celui-ci m’écrivait récemment qu’elle était « une de ces « figures » qui apparaissaient dans les crises morales des adhérents du syndicat pour soutenir les responsables : fin de la IVe République, guerre d’Algérie, torture, déconfessionnalisation de la CFTC, etc. ». « Elle parlait avec maîtrise, sourire et élégance dans les assemblées dramatiques de l’académie de Paris quand les « affreux » sonnaient la charge contre nous ».

Anne Serrier ne dédaignait pas par ailleurs les tâches les plus modestes. Quand la commission nationale chargée d’étudier les problèmes des agrégés fut créée en 1963 et chercha un(e) correspondant(e) dans chaque académie, elle se chargea de l’académie de Paris avec une collègue. Au début de l’année suivante, ladite commission lança un questionnaire : c’est encore A. Serrier, aidée par un collègue de Toulouse (Haute- Garonne), qui entreprit de dépouiller les 70 réponses reçues. Toutefois son nom cessa de figurer sur la liste du secrétaire général pour les élections au comité national, lors du congrès de mars 1964. Sans doute prenait-elle sa retraite à la rentrée suivante car à partir de ce moment, le bulletin syndical ne mentionna plus son nom.

Mais Anne Serrier ne demeura pas pour autant inactive. Dans l’homélie du P. Ferret déjà évoquée, celui-ci rappelait que, dès qu’elle fut à la retraite, elle s’intéressa activement à un monde nouveau, celui du cinéma. Elle y déploya, dit-il, « une très grande activité, voyant les uns, voyant les autres, s’informant des techniques et des possibilités pédagogiques de cette nouvelle culture ». Quand sa santé se détériora davantage, elle entra le 25 novembre 1977 dans une maison de retraite de la MGEN (Mutuelle générale de l’Éducation nationale), à Huby-Saint-Leu. Pierre Cournil se rappelle que dans les années 1960-1970, elle avait fait une chute provoquée par un vélomoteur et qu’elle en garda des séquelles. A cette époque elle lui emprunta trois livres et lui téléphona un soir, disant qu’elle perdait la mémoire et ne savait plus si ces livres lui appartenaient. En fait elle ne les lui retourna pas car il se souvient d’avoir dû les racheter. A sa mort, Anne Serrier avait perdu son frère, mais avait encore ses trois soeurs : Elisabeth, restée célibataire ; Cécile et Yvonne, mariées l’une à Jean, Lucien Beaufils, l’autre à Jean, Roger Vielhescaze. Ses funérailles eurent lieu à Bagneux, dans l’église Saint-Hermeland car il y avait là un caveau de famille où se trouvait déjà la belle-mère de son frère Louis.

Syndicalisme universitaire ne mentionna pas sa disparition, sans doute parce qu’à cette époque les dirigeants du Syndicat ne savaient pas qu’elle avait été l’une des grandes figures du SGEN de l’après-guerre. Mais quand en 1987 le Syndicat fêta son Cinquantenaire, la chronique historique de Michel Branciard évoqua l’action d’Anne Serrier pour maintenir après la Libération la ligne laïque du SGEN.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article87614, notice SERRIER Anne, Marie, Juliette par Madeleine Singer, version mise en ligne le 21 avril 2010, dernière modification le 28 juillet 2022.

Par Madeleine Singer

SOURCES : M. Singer, Le SGEN 1937-1970, Thèse Lille III, 1984, 3 vol. (Arch. Dép. Nord, J1471) ; Histoire du SGEN, Presses universitaires de Lille, 1987. — École et Éducation (1937-1955). — Syndicalisme universitaire (1955-1979). — Syndicalisme universitaire, juillet-août 1987, inséré dans CFDT magazine. — Actes de naissance de Louis, Anne, Elisabeth et Yvonne Serrier, mairie d’Orléans, 12 juillet 2000. — Acte de naissance de Cécile Serrier, mairie de Saint-Jean-de-la-Ruelle, 12 janvier 2001. — Acte de décès de A. Serrier, mairie d’Huby-Saint-Leu, 29 juin 2000. — Article nécrologique, Bulletin des anciennes élèves de Sèvres, juin 1980, p13. — Homélie du P. Ferret, Le lien de charité, novembre 1979. — Lettre de Pierre Cournil à M. Singer, 15 août 2000 ; lettre de Claude Bouret à M. Singer, 5 septembre 2000. — Entretien avec Monique Mariette (fille de Louis Serrier), 13 décembre 2000. — Lettre et document de Nicole Caron (fille d’Yvonne Vielhescaze-Serrier), 23 décembre 2000 (archives privées).

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